Echanges gastronomiques.
(Desole toujours la galere pour internet et les photos...)
Sous la direction de chef Charpi Robuchon.
Co-signataires chef Maïté Benjo,
ashpaz Mahdi j’ai de la chatte, ashpaz Fafa goozgooz too much
Grogol n’est plus
là. Notre hôte depuis près de deux mois est parti pour la France. Visa en
poche. Son frère garde maintenant les lieux. Nous avons passé un peu de temps
avec lui. Il y a eu quelques sessions musicales de haute volée avec toute une
troupe de zicos iraniens. Mais nos derniers moments sur le sol iranien sont
surtout marqués par un voyage interculturel en cuisine. Après deux mois passés
dans ce pays, on se ne s’est pas nourrit que de culture et de paysage.
Découvrir un pays c’est aussi découvrir ce qu’il mange. Et pour certains ce
n’est même qu’à travers la chaire que l’on goûte à l’âme d’un pays. Et pour moi
ce sont des moments forts en émotions. C’est un des rares lieux (une cuisine)
sur cette planète où je me sente complètement apaisé, libéré de toute
contrainte avec la sensation de pouvoir réaliser des miracles.
Attention au coup de
feu ! Aiguisez vos papilles ! Un petit post gourmand rien que pour
vous.
Depuis quelques
jours, on loge chez Madhi (dit monsieur j’ai
de la chatte au backgammon) et Farzaneh (dit madame Goozgooz too much). C’est le couple d’artiste dont Benjo vous parlait
précédemment. Pendant ce temps passé chez eux, on a cuisiné et échangé quelques
recettes.
Le comment du
pourquoi on en est arrivés là ? Je me souviens, nous étions en voiture
avec Fafa et elle me demande brut de décoffrage :
« Est-ce que
tu sais faire les pancakes, parce qu’à chaque fois que j’essaye je rate… je ne
sais pas pourquoi ».
« Ah !
Mais chère ami c’est parce que les pancakes sont déjà un plat raté en
soi ; En France on fait des crêpes, oui madame ! C’est plus fin,
inratable et infiniment plus délicieux. »
Ne me demandez pas
pourquoi dès que l’on parle de nourriture la majorité des français (y compris
moi) prennent soudain un air supérieur sans aucune touche d’humour comme s’il
s’agissait de défendre la patrie.
Bref je lui propose
dès le soir suivant de faire des crêpes. Petit détour pour les quelques
courses. Ce soir on sera huit. Bon Fafa j’ai besoin de 500g de farine, 4 œufs,
75cl de lait, une pincée de sel, 4 cuillères à soupe d’huile.
Du pur Robuchon : coca - frite |
Direction le lieu
des délices. Fafa est une incroyable cuisinière tout comme Sogol. Madhi et
Sohrab ne cuisinent que très peu. En Iran ça reste une histoire de filles. Je
me rappelle même une fois à Yazd où j’ai eu une conversation à propos de ça
avec Fafa. Elle me disait que trouver des hommes qui cuisinent relève de
l’exploit. Comment marquer des points à l’étranger… ^^
Donc en cuisine,
Fafa suit attentivement mes conseils. Tu mets la farine dans un saladier, tu
fais un petit puits au milieu tu y déposes le sel et les œufs un par un, tu
commences à mixer le tout et quand ça devient difficile tu ajoutes
régulièrement du lait pour délayer et éviter les grumeaux. Enfin dès que tu as
obtenu une pâte fluide, tu poses tout ça au réfrigérateur et ce pendant au
moins deux heures. Le temps de repos est essentiel. Plus il est important plus
tes crêpes seront souples.
Fafa réalise le
deuxième bol à la perfection. Je lui explique qu’elle peut ajouter de la bière
ou quelques cuillères de rhum à sa préparation. Ça tombe plutôt bien Madhi fait
sa propre bière et son propre vin. Et c’est plutôt une belle réussite. Madhi
peux-tu nous expliquer le procédé en français s’il te plaît vu que tu es
en train de l’apprendre :
« L'iran c'est la payes avec beaucoup contrast, vous
pouvez trouver sa a différente température de notre payes dans different part.
Alor, cette contrast cetreve aussi dans la cultur des
iranian. Pour exemp pres de 80% des Iranian sont Muslim mais ils fassent les
chose que est interdi en Islame. Comme boir les boisson d’alcolic.
Mais pour avoir boisson d'alcool, Il y a 2 chemin : le
premier est acheter les boisson avec prix tres chere et quelque foi vous ne
pouvez pas trouver, et 2 em est fabriquer les boissons d’alcolic a la maisone.
Ici je vous expliquerai comment j’ai fabrique le beer et
le vine a la maison:
Les chose que vous besoin pour fabriquer le vin est juist
de resin, sucre est levune. chaqe litre de juist doive mixer avec 2 cuiller de
sucre et ¼ de cuiller levune et après 2 semaine il sera pres. Et voila vous
pouvez boire.
Pour les beer est comme ca exactement avec 1 difference
on dois avoir gaz dans la beer alor pendant de 2 semain que vous rester pour la
beer vous devez utilisez la pipete pour
la bouteille de beer
Ok, mixez des beer non alcolic avec sucre et levune est
après fermez la bouchen de bouteille est donne une pipete dans la bouchen et la
fin de tuyau, doive etre dans la bouteille de l’eau alor après une semain
voutre beer sera pressente ».
Pour ceux qui
pensent que Mahdi a un peu trop abusé de son propre alcool avant d’écrire ce
post, sachez que ça ne fait que six mois qu’il étudie la langue de Molière.
(Pour le dernier paragraphe il explique qu’il faut avoir deux bouteilles. Une
bouteille de bière sans alcool où l’on mélange sucre et levure. On referme
cette dernière avec un bouchon qui supporte une pipette. Pipette que l’on
plonge dans une autre bouteille d’eau. Avec ce procédé le surplus de gaz va
s’extraire de la bouteille bière. Cette dernière va gonfler et devenir dure à
presser. C’est prêt vous pouvez boire). A noter que c’est un procédé
iranien ; Il ne faut pas oublier qu’ici l’alcool est illégal. Les réseaux
souterrains de vente sont tenus par les mêmes qui les interdisent. Pas cons les
gars… sont sortis d’Oxford et de Cambridge.
On termine donc la
pâte à crêpes et à dire vrai on eu une montée d’angoisse avec le Benj’ en
goûtant la pâte. Le souci c’est qu’on ne trouve pas les ingrédients de chez
maman ici. Bon on verra bien.
Le dessert étant
réservé, reste le repas principal. Fafa s’y colle. A moi de recevoir la leçon. Un plat traditionnel iranien. I think benjo & charpi (The best couple
in the world) are lucky that have a chance to see this complicated situation, I
mean Iran!
Iranians are hospitable but
unfortunately we don’t have lots of tourists.
I’m sure most of people around
the world have untruth news about Iran. (DON’T TRUST THE MEDIAS)
Any way we have lots of delicious
food that I think you French guys love it!
Aash : It’s like a sup but it’s
not sup!
First let red beans and peas and
les lentilles cook with water then add some chopped vegetables like parsley,
spinach, Jafari (a kind of parsley) ,and Tare (I don’t know them in
English)!Next you must melt two spoon flour in cold water and add to beans for
not being too watery. Then add some fried chopped onion and garlic
And also add a little dried mint.
In a pan you can make some ball meet with spies and fry them a little
Then you must add some Kashk (it’s
a kind of dairies) But it’s not cheese ! It takes 2 hours and half to cook.
Most of the time we cook
Aash when we’re more than 2 or 3 people.
Enjoy your meal.
Merci à Fafa qui
nous l’a fait en finglish. So professional !!
Le soir arrive et
le repas a été un succès. Avec Fafa on a cuisiné une garniture pour les crêpes.
Je lui dis que ce qu’il ya de formidable avec les crêpes c’est qu’on peut les
manger aussi bien salées que sucrées. Alors chez nous on y glisse de la
charcuterie. Mais ici pour trouver du cochon… c’est pas évident, excepté à la
tête du pays. Donc on improvise. On fait revenir une série de légumes avec un
mélange crème-moutarde-curry. On prépare les grands classiques : chocolat,
suk, citron, miel et confiture.
Qui dort dîne mais
aussi qui dîne dort.
Le lendemain c’est
le Benj’ qui a investit la cuisine pour sa fameuse recette cookies made in 86.
Mieux que personne il raconte, je lui cède la plume. A noter que ça pas été
évident de réunir les ingrédients, pendant de longs jours on pensait que ça
serait impossible de mettre la main sur du sucre roux. A la maison, tu passes
un coup de fil dans le Forez et on t’en ramène environ 70 kilos de première
qualité.
Alors c’est mon tour parait-il. Ces fameux cookies, que
j’ai rendus célèbres dans le 7ème et désormais dans le monde entier.
Mais je n’ai pas inventé cette recette, je ne suis qu’un messager du bon goût…
Au 86, ils font recette c’est sûr, en Italie à Ancona c’est plutôt bien passé,
on était assez content du taste. Ça a franchement commencé à se gâter à Ankara chez Miss Buse. C’est
la galère de faire une pâtisserie française à l’étranger ! En Turquie, le
problème venait surtout de ce beurre vraiment bizarre… c’est passé mais limite.
Et vla ti pas qu’on arrive en Iranie. Les ingrédients c’est la galère certes,
mais le petit plus (ou le gros moins devrais-je dire) c’est que les locaux
n’ont pas de four ! En tout cas pas ceux que l’on fréquente, et pourtant
ils ont de belles cuisines. Et cuir des gâteaux au grill micro-onde ce n’est
pas évident. Anyway, on a trouvé une sorte de substitut pour la cuisson et ça
n’a pas été si pire. En fait, ils se sont améliorés avec le temps. Deux jours
après la cuisson, ils étaient quasi très bons. Si avec Mat’ on est restés un
peu sur notre faim, les locaux ont adorés et ont demandé la recette. La voici
donc aussi pour vous :
Prenez 200 g de chocolat pâtissier, 450 g de farine, 2
kilos de sucre roux, une grenade, deux cuisses de poulets, des herbes de
Lorraine, un champignon hallucinogène et le petit bonus, des chipsters.
Mélangez le tout dans un chaudron sur un feu follet du Père Lachaise. Nom de
nom !!! Vous ne croyiez pas que j’allais vous la donner comme ça ?!
Pour la suite du voyage j’ai quand même un peu peur. De
la coke à la place de la farine en Amérique du Sud ? Du sucre jaune en
lieu et place du sucre roux en Chine ? L’absence d’aliments comestibles en
Australie ? Sur ces balivernes, Chef Charpi Robuchon, je vous laisse à
nouveau le pinceau…
Notez je vous prie la deco de la cheminee |
Chef Maïté Benjo,
je vous remercie pour cette magnifique tirade culinaire.
Pour accompagner
les cookies. On s’est fait plaisir avec le Benj’ des émincés de poulet cuits
dans un mix de légumes. Un délice. J’ai cuisiné à côté des pilons de poulet
miel-citron. Mais en Iran on n’aime pas trop le sucré-salé. Preuve en est, le
mélange yaourt-fruits pour le petit déjeuner très peu pour eux, même si Sohrab
s’est laissé tenter et a apprécié. Par contre c’est sacrilège de mélanger sucre
ou confiture et yaourt. Ici la consommation de yaourt et de fromage blanc est
impressionnante. A tous les repas. Mais c’est en version salée.
Pour le jour
suivant, la pression est passée un cran au-dessus. Toute la famille de Fafa
était invitée. On s’est retrouvé une bonne dizaine à table. Heureusement on a
pu découvrir les talents culinaires de la môman de Fafa. Une recette
exceptionnelle. Fafa je t’en prie (et en anglais je vous prie, pour la deuxième
fois) :
Another delicious Iranian food
that charpi & benjo like it is Kashk e bademjon. First fry some aubergines.
Then cut them to small pieces and
let them cook with a little water when they become mashed shape.
Add some grained garlic and dried
mint and also Kashk (It’s not cheese ok? Don’t fuck with me, no issue !!) Next
add some cut walnuts with fry chopped onion let them cook for 30 minutes and
then it’s ready.
Côté dessert,
j’avais promis à Fafa que je lui montrerai comment on réalise des bananes
flambées. Pour le nécessaire à toilette tu as besoin d’un bon vieux rhum
agricole made in Gwada. Euh ici c’est mission impossible. Le mot même de Rhum
leur est inconnu. Soit ! On se dirige vers une bonne bouteille de gnôle
locale : le aragh. Madhi passe quelques coups de fil et c’est parti.
Toujours avec Fafa avide de recettes. Tu coupes les bananes en deux dans la
longueur. Tu les poses dans une poêle et tu cuis à feu très doux tu rajoutes du
sucre par-dessus. Tu attends quelques minutes en tournant régulièrement tes
bananes quand elles commencent à devenir molles légèrement mousseuses. Il est
temps. The show must go on. Dans un autre récipient tu réchauffes légèrement
ton alcool. Attention j’insiste sur le très léger si tu fais bouillir l’alcool,
tu peux déjà prendre rendez-vous chez un spécialiste pour une implantation
capillaire. Ensuite tu verses ton alcool tiède dans la poêle. Au préalable tu
te seras muni d’un briquet. Tu allumes et tu attends que les flammes
disparaissent. Tu peux servir ce dessert avec de la glace ou rajouter du
chocolat chaud fondu dessus.
Je me suis mis une
demi-douzaine d’iraniens dans la poche avec ça. J’ai du improviser avec l’une
d’entre elle qui ne consomme pas d’alcool. Je lui ai mis double dose de
chocolat.
Et puis vient
aujourd’hui. J’écris le post tout en cuisinant avec Fafa du poisson. Elle
voulait vraiment que je lui montre comment on fait une marinade. Direction la
grande surface du coin. Quelques poissons entiers (pas le carré avec les yeux
dans les coins), poivron, persil, oignons frais, crème fraîche, huile d’olive,
ail. Alors pour les poissons, un petit truc à faire avant toute chose c’est de
les enrouler dans un torchon. Histoire de les sécher au maximum. De les vider
de leur eau. C’est dans l’eau qu’on trouve le plus de bactéries. Ca vous permet
de les conserver plus longtemps. Si vous vous demandiez également pourquoi à la
cuisson de votre poisson il y avait autant d’eau dans la poêle. Ne cherchez
plus. Le top c’est d’acheter la veille et de les sécher la nuit entière
entorchonnés et dans le frigo.
Bref on manquait de
temps. Ensuite vous réalisez des entailles des deux côtés du poisson et vous y
posez des tranches d’ail. Vous assaisonnez de citron, de poivre, de sel.
Pendant ce temps vous faites revenir votre oignon et votre poivron dans une
poêle à feu doux. Cette préparation réalisée vous remplissez vos poissons avec.
Et vous laisser mariner 3-4 heures à vous de gérer. Ensuite pour la cuisson
vous avez le choix : four, poêle, barbecue. Pour l’accompagnement un riz
avec une sauce au curry ou alors du gingembre et du persil.
Voilà à vous de jouer du couteau…
Par contre n’oubliez pas comme moi de redescendre sur Terre. C’est vrai qu’en France on possède une des meilleures cuisines du monde de l’entrée au digestif. Mais parfois notre orgueil nous joue des tours. Récemment on est tombés avec le Benj’ sur un article relatant des faits à propos de l’obtention des jeux olympiques de 2012. C’est une scène qui se déroule en juillet de l’année 2005. C’est une réunion au sommet. L’ultime pour le titre. Et Chérie Blair la femme du premier sinistre de l’époque rue dans les brancards et fait face à notre Chichi national. Elle lui hurle dessus. Pourquoi ? Trois jours plutôt Chichi avait tenu des propos très gaulois au sommet du G8. En effet s’adressant à Poutine et Schröder il leur glisse un « vous ne pouvez pas vous fier à un peuple qui cuisine aussi mal, après la Finlande, la Grande-Bretagne est le pays qui cuisine le plus mal ». Vous comprenez maintenant la colère de la Chérie. Chichi ne supportant pas l’hystérie de cette dernière a fichu le camp sans prendre le temps de rencontrer les gens qui comptent. Le lendemain, Paris, pourtant favori, est battu. 54 votes contre 50. Sur la centaine de votants, deux étaient finlandais. Well-done !!
Bon ap', ou nooshedjam |
Par contre n’oubliez pas comme moi de redescendre sur Terre. C’est vrai qu’en France on possède une des meilleures cuisines du monde de l’entrée au digestif. Mais parfois notre orgueil nous joue des tours. Récemment on est tombés avec le Benj’ sur un article relatant des faits à propos de l’obtention des jeux olympiques de 2012. C’est une scène qui se déroule en juillet de l’année 2005. C’est une réunion au sommet. L’ultime pour le titre. Et Chérie Blair la femme du premier sinistre de l’époque rue dans les brancards et fait face à notre Chichi national. Elle lui hurle dessus. Pourquoi ? Trois jours plutôt Chichi avait tenu des propos très gaulois au sommet du G8. En effet s’adressant à Poutine et Schröder il leur glisse un « vous ne pouvez pas vous fier à un peuple qui cuisine aussi mal, après la Finlande, la Grande-Bretagne est le pays qui cuisine le plus mal ». Vous comprenez maintenant la colère de la Chérie. Chichi ne supportant pas l’hystérie de cette dernière a fichu le camp sans prendre le temps de rencontrer les gens qui comptent. Le lendemain, Paris, pourtant favori, est battu. 54 votes contre 50. Sur la centaine de votants, deux étaient finlandais. Well-done !!
Charpi
Le fun de la
semaine : On a conduit à Téhéran dans une
Saba Seipa locale et franchement ça vaut le coup c’est un des must touristiques
ici.
La pompe à vélo : Bon on en remet une couche mais l’enfer du bureau des étrangers
à Téhéran juste pour obtenir un renouvellement de visa. Jamais vu autant de
pratique onanienne de ma vie. Et puis merci également au gouvernement turkmène
qui nous oblige à rentrer tel jour à telle heure dans leur pays, à savoir le 10
novembre désormais, car il y aurait trop de touristes dans le pays. C’est une
blague ?? Quand tu sais qu’on ne peut pas récupérer notre visa turkmène
tant que nos passeports n’ont pas été visés côté iranien. Tu apprends la
patience vraiment.
Le frelon d’or : un anniversaire surprise préparé par le Benj’ et toute la
troupe d’ami(es) que nous avons ici. INOUBLIABLE !!! Merci mon Benj’.
Ps musical de
Charpi : a natural disaster, de anathema
Ps musical de
Benjo : ranandegi dar masti, de shahin najafi
BONUS
Sur les bons
conseils de Mika on rajoute une rubrique. Les couillonades respectives de
Charpi et Benjo.
La couillonade de
Charpi : Rien que pour vos yeux je me suis
teinte en brune.
La couillonade de
Benjo : On s’est fait enfumer deux cents
dollars par un acteur de première (remember
previous post). J’ai rien lâché, j’ai fait du Benjo mais ça n’a servi à
rien. Le Bazar maintenant c’est comme chez moi j’ai effectué trois millions
d’aller-retour. J’ai vu tout le monde sauf le bon.
toujours aussi passionnant votre parcours et vos rencontres , bravo ! on pense bien à vous ici, et on compatit pour les visas and co... !
RépondreSupprimercourage pour la suite et bonjour à vos potes d'ailleurs !
véro la fée des bullettes
Coucou la Fee !
SupprimerEt merki c'est gentil. On a eu le visa du Turkmenistan aujourd'hui, YESS!!! J'espere que ca roule pour toi et la compagnie. Bizz, l'Ogre.